Quand je vis Madeline

Quand je vis Madeline
Pour la première fois,
Je montais la colline,
Elle sortait du bois
En coiffe de dimanche,
En jupe et guimpe blanche

Elle allait sous les branches,
Que les beaux jours sont courts !

bis

2.
C'était la nuit dernière,
J'ai reçu, embarras sanglant,
Sa suprême prière,
Tandis qu'au même instant
Le ciel sur toutes choses
Versait des rayons roses

Qui réveillaient les roses.
Que les beaux jours sont courts !

bis

Source : Raphaël de Westphalen "Chansons populaires de Lorraine" t. 1 page 181

Cette romance n'est visiblement pas une chanson traditionnelle, le texte en est bien trop recherché, mais Wesphalen a jugé bon de l'inclure dans l'un des ses volumes.