Origine : Nivernais/Morvan (Beaumont-La-Ferrière)
Année de l'arrangement : 2000
Les moutons perdus
(Louison)
Par un jour l'envie m'a pris D'y aller me promener. |
bis |
Dans mon chemin j'ai fait rencontre
D'un' charmante Louison,
Ell' pleurait, versait des larmes
D'avoir perdu ses moutons. (bis)
2.
Ne crains rien, belle bergère,
Ne crains rien pour le courroux
Nous irons dire à ta mère
Qu'ils sont dévorés du loup,
Donne-moi ton cœur en gage,
Je n'en dirai rien du tout. (bis)
3.
— Pour vous donner mon cœur en gage,
Moi qu'à perdu mes moutons,
Je s'rais encore bien moins sage
Pour aller à la maison,
Je garderai mon cœur volage,
J'irai chercher mes moutons. (bis)
Source : Achille Millien - Chansons populaires du Nivernais et du Morvan, t. 1 page 81
Voir une autre version de ce chant :
Louison (Haut-Vivarais) n° 1656 page 83