Cantatrice et musicienne, elle étudie le piano avec Frantz Liszt .
Elle est l'amie de George Sand qui lui demande de noter la musique de chansons traditionnelles du Berry.
(ces chants seront publiés en partie dans La chanson populaire et les écrivains romantiques de Julien Tiersot.

Elle suscite l'admiration de Chopin, Saint-Saëns par ses dons musicaux hors du commun.
P. Viardot encouragea de jeunes talents tels que Charles Gounod, Fauré et Massenet…

Après sa retraite (en 1863), Pauline Viardot se dédia à la composition (plusieurs opérettes, dont Cendrillon en 1903, sur des livrets de Tourguéniev) et à l'enseignement du chant, qu'elle dispensa uniquement à des élèves de sexe féminin, au Conservatoire National de Paris.
Parmi elles les grandes Felia Litvinne et Jeanne Gerville-Réache.
(Wikipedia, extraits)